Comme vous le savez peut-être (ou pas en fait, je n’en sais rien), on apprécie beaucoup le travail de Gore Verbinski (cf. Episode 6) et malgré ses défauts (notamment sa durée troooop longue), la trilogie Pirates des Caraïbes est un divertissement fun, épique et visuellement travaillé. Ce nouveau chapitre de la franchise semble reprendre sources auprès du premier film (selon les dires des réalisateurs) et tant mieux. La Fontaine de jouvence, le précédent volet datant de 2011 (!), était agaçant et ennuyant à souhait. Une réalisation peu inspirée sans moment marquant (on peut dire ce que l’on veut Le Secret du coffre maudit et de Jusqu’au bout du monde, ils en avaient.), un méchant peu charismatique, une romance plutôt embarrassante et un Johnny Depp omniprésent et insupportable… Bon, apparemment, on est reparti pour une nouvelle romance (le fils de Will Turner et Elizabeth Swann apparemment, spoiler alert) et un Johnny Depp qui johnnydeppise (moins que dans le quatrième on dirait) mais ça fait plaisir de revoir Geoffrey Rush dans le rôle de Barbossa et j’aime bien le design du perso incarné par Javier Bardem. Pourquoi pas.
Pirates des Caraïbes: La Vengeance de Salazar (Pirates of the Caribbean: Dead Men Tell No Tales) de Joachim Rønning et Espen Sandberg avec Johnny Depp, Geoffrey Rush, Javier Bardem et Orlando Bloom. Sorti le 24 mai.